Le string de ta pudeur, objet de ma démence,
Enveloppant ta rose et ses pétales chastes,
Enivre obstinément par des fragrances fastes
Ma traître tentation et ma concupiscence… ;

Terrassant sur le sol ma fragile innocence,
Dois-je battre ma coulpe...? Ah ! Nul de mes péchés
Sous le joug éclatant des désirs éméchés
Ne puis mener mon âme à sa résipiscence…

Je veux que ta culotte en ma pensée maintienne
Cette ivresse infinie et profane et païenne
Afin que, si ce soir ou bien dans une année

La nuit perpétuelle obscurcissait mes yeux,
Puisse sa douce soie, tout de toi imprégnée,
Comme un divin linceul rendre mon sort joyeux…

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MM