Douce rebelle,
tendre printanière hirondelle.
Je viens vous conter mes mots d'amour,
accepteriez-vous d'être ma bien-aimée ?
Sur le chemin de la destinée,
voulez-vous partager avec moi un jour, une nuit ou un bout de toujours ?
Au chant de mes je t'aime,
c'est du fond de mon cœur et droit au vôtre que, sans détour, j'adresse cet humble poème.
Partagez avec moi vos insomnies,
vos maux de minuit.
La course folle d'une larme tombée au champ d'honneur,
sans couronne, ni fleur.
Gente dame donnez-moi la main,
allons sur les secrets chemins.
Par tant de gens maintes fois parcourus,
venez de vos baisers, pansez les blessures de mon cœur pour vous mis à nu.
Vous méritez plus que ces quelques mots posés,
avec enthousiasme et frénétiquement.
Le cœur à tout rompre battant,
posés sur le papier car vous les dire, je n'oserai jamais.
Vous méritez bien mieux que ces quelques mots posés,
sur ce papier par mes larmes mouillées,
des mots que sûrement jamais vous ne lirez.
Vous aimez en silence,
ma grande souffrance,
de la vie telle est la sentence.
Droits d'auteur 00055145
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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout
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