J'excuse la folie des hommes de vouloir tout posséder
Marchant sur les ventres bien trop vide des enfants
Une sorte d'embolie à consommer comme obsédé
Afin d'être l'épicentre de la nature humaine en néant...

J'excuse le silence lorsque les yeux constatent le délit
Des frontières souillées protégées par l'égoïsme
L'action comme rouillée par rupture d'anévrisme
Fais ce que tu peux alors donc je fuis...

J'excuse la parodie que joue les journaux télévisés
Manipulant l'auditoire aux portes des contre vérités
Décernant un Molière de comédie à ces gens à viser
Car travestit est l'histoire pour les générations à en hériter...

J'excuse la démocratie qui n'est qu'un leurre de monarchie
Car la dîme est une main morte qui se nomme aujourd'hui impôt
Récolter ces quelques centimes pour eux la poule au pot
Les corvées d'inertie est le travail pour vous les non affranchi...

J'excuse comme j'accuse le monde d'être son propre nombril
Je pardonne comme je condamne le profit comme seule voie
D'une étincelle une flamme provoquera la fin en soi
Car quand le tonnerre gronde plus rien n'est vraiment tranquille...

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