Une journée assez torride d’un mois de juillet,
Je me trouvai sur une plage aux sables fins, dorés,
Endroit paradisiaque, station balnéaire, Saint-Tropez,
Allongée sur mon hamac, à l’ombre d’un géant palmier.

Il faisait une chaleur tropicale à nous faire suffoquer,
À l’ombre, le thermomètre, trente-huit degrés marquait,
De sueur, mes vêtements étaient complètement trempés,
L’insupportable canicule m’empêchait de respirer.

Quand soudain j’ai eu la sensation d’une agréable (surprise),
Comme si quelqu’un prétendait délicatement me caresser,
J’étais à la fois heureuse, en même temps embrouillée,
Je me laissais faire, sans oser regarder, ni même bouger,

Cet invisible présence me faisait tellement de bien !
Me susurrant à l’oreille un murmure de va et vient,
Un sifflement très doux mes oreilles percevaient,
Cette douce visite était mademoiselle Brise bonté.

Ayant eut compassion de mon corps entièrement mouillé,
Venant de Nice survolant et atterrissant à Saint-Tropez,
C’était son fiancé Zéphyr qui l’avait certainement envoyée.
Averti par une adorable sirène de la Méditerranée.

Pour rafraîchir les touristes de la page de Saint-Tropez
Et l’actrice Brigitte Bardot, une de mes vedettes préférées,
J’ai ressenti une sensation de fraîcheur tellement exquise,
Que dans un paradis terrestre, je croyais habiter.

Et sur mon hamac, gaie et heureuse, je me balançais,
Oh ! Merci Brise, vent très doux de mes délices,
Le bien-être absolu tu avais su me procurer.
Pour me visiter, c’était le moment propice,

Cet après-midi chaud du mois de juillet,
Comme parfois dans la vie, il ne faut désespérer,
Lorsqu’on s’y attend le moins, surprise !
Quelqu’un d’invisible vient nous soulager.



Paquita