Je me disais enfant : -- pourquoi te rendre l'amant de ces dames ? -- C'est que je devais être beau garçon avec le sourire de l'exaltation communicative.
Car si j'étais pour elles un beau parleur c'était pour faire comme si j'aurais dû recouvrer leurs phantasmes et ne pas me méprendre de moi-même. -- Ne pas culpabiliser ! Tel était mon leitmotiv qui n'était qu'un à propos de... de l'autodéfense ? Mais pourquoi ça? Bizarre identification à un courage d'anticipation qui ne servit qu'à me desservir de ma propre perspicacité pour une perplexité de mauvais aloi... Que dis-je ? D'effroi face à une nature inhumaine qui vous accuse de sa propre transgression.
Réflexion faite, je n'y étais plus quand ces mots fulgurants ont entamé ma sensibilité pour en décolorer leur intelligibilité rendue opaque par des versants d'inquiétude qui altérés par les nivellements de mauvaise foi de mon entourage n'a fait que rendre accessoires mes propres désirs au prorata de volontés qui voulaient plus de compréhension là où autour de moi ça n'était que mensonges.
Mais ce feedback même s'il est l'insu d'une psychose n'est, ainsi révélé, plus qu'une névrose actuelle reléguée au rang d'une neurasthénie subliminale.
Je n'ai pas tout dit et j'ai peut-être trop cadré; mais l'éminence de cette déposition est le lieu d'altération d'un genre dans l'ignorance et d'une aliénation d'une espèce dans l'innocence. Ainsi chose faite mon système est le continuum d'un feedback qui régresse tout en subvertissant le désir de son versant impur.

----------------
En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer

http://www.edilivre.com/le-repit-du-silence-23115d53b9.html

http://nihilo1.over-blog.com/