Ils se pavanent dans les ombres de leurs pouvoirs,
se cachent derrière les murs du silence,
gonflés par l’orgueil de leur puissance
et brûlent dans les flammes du mensonge…

ils ignorent les villes aux cauchemars
et oublient les joies de l’enfance,
quand il n’y a que la mort en délivrance,
Et que la peur s’immisce dans les songes…

Quels sont ces maitres immondes qui les dirigent ?
Ces êtres avides des richesses aux apparences
Qui décident l’avenir du monde en pénitence
Aux mausolées des peuples qui s’érigent

Les pantins de bois, n’ont pas de cœurs
Le sang qui coule en leurs veines est en euros
Aux libertés des discours sombres ou démago,
ils tirent les ficelles de toutes les terreurs…

ils brisent les vies, au capital se consacre,
manipulent les foules et les misères en errance
tirent les leviers des marionnettes de la finance
et les enflamment aux bûchés des crises aux désespoirs…

un jour prochain ils crèveront sur un trottoir,
en oubliant toutes les promesses et alliances
la rage au cœur des peuples en transhumance,
détruira les vanités aux milliards de dollars…