Tant de fois j’ai rêvé d’entendre tes paroles
Et mille fois j’ai prié pour me voir dans tes yeux,
S’il me fallait compter, je compterais les planètes.
Si mes pensées s’envolent mon cœur lui, somnole,
Il suffirait d’un mot pour que je sois aux cieux
Libre enfin de ranger ma plume de poète
Et me pendre à ton cou, de mes bras t’enserrer.
Ni le temps ni le vent n’effaceront mes pensées,
C’est un leurre de se dire qu’il suffit de se taire
Et faire le silence en gardant ses mystères.
Sur les lignes du temps je me plais Ă Ă©crire
Ma main trace les mots que je voudrais te dire
Et comme je t’ai appris à lire entre les lignes,
Ferme les yeux, laisse-moi t’envoler sur ma lyre
Ouvre ton cœur, pose ton âme sur ma poitrine,
N’ouvrons plus notre porte aux jaloux aux envieux.
Tes yeux je les ai lus, j’en connais chaque étoile
Même l’âme a parlé par-dessus la morale,
Alors j’attache les étoiles en longue tresse
Liant lune et soleil en ultime S.O.S.
Martine
09/09/2013
Pardonnez ma maladresse amis poètes, je m'entraîne