Les silences qui assomment insidieusement,
Les vérités qui font mal et qui déchirent,
Les difficultés qui succèdent aux tourments
Ses flammes de l’enfer qui nous font sombrer dans l’abîme…

Les mots d’amour qu’on ne sait pas dire,
Et ceux de tendresse qu’on ne veut pas entendre,
Les maux qui font mal, à en hurler, à en vomir,
Ses noirceurs de l’âme qui nous font victimes…

la souffrance dégouline de nos pores, inexorablement,
si nous refusons d’utiliser l’énergie du désir,
pour vaincre le mal être, et choisir d’être libre
à aimer vivre les petits bonheur de l’instant

souffrons quand il faut souffrir,
pleurons si nous devons pleurer, notre châtiment,
laissons nos cœurs tristes qui s’ expriment,
alimenter la plume de notre âme en son palais des sentiments…

mais rions quand il faut en rire,
l’amour est en notre esprit et la joie profondément,
il suffit d’un souffle ou d’un soupir, d’un regard ou d’un sourire,
pour inspirer le poète et sa plume en son palais des sentiments…