Dédié à ma femme et à toutes les poétesses OASIENNES
Jamais nous n’aurions dansé chantants
Jamais nous n’aurions pensé enchantant
Jamais nous n’aurions d’aussi beaux rêves
D’aussi belles histoires en guerres et trêves
Corps vains nos mamours quoi –que vivants
Pétrins nos allers-retours sots ou savants
Chagrins nos cascades loin de nos sources
Morts vains nos adieux sans fin de course
Ces anges qui « bonheurent » nos tristes âmes
Céleste est le don de nos sœurs-femmes
Ces fleurs qui jardinent nos terres-cœurs
Parfument en Divin tout nos parcours