Les souffles d’amour s’enfuient par-delà les inespérances
Les creux de l’âme au fond des vertiges
Toujours sans fin tombent et s’abîment
Les souffre-douleurs s’ennuient au-delà des inexistences
Lépreux de l’âme, hauts fonds des litiges
Toujours sont feints tombes et centimes
S’essoufflent couleurs, sans bruit, au-delà des impersistances
Les preux de l’âme au fond des vestiges
Toujours ont faim d’ondes et d’estime
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Christophe