Tu as cette fougue qui te fait soulever
Au-dessus des tourments ton ami le poète
Et surprend son rêve ton grand rêve à rêver
Dans les nues traîner nuances en parfaite
Harmonie du temps perdu et recherché…

Esquisses qu’en mari, je te révèle à nu
Et dont tu devines le fini de l’ouvrage
Alors que même vain ou encore ténu
Mon mot subit le blanc de méprisante page…
Avant d’être épouse tu es muse courage !
A.Alloun.

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Prière ne pas remonter mes anciens textes, merci
Le tagastin: quand on vit d'amour et de vers, il faut assumer ses coliques!