Un pas en avant deux pas en arrière
J'aime quand le désir te donne la fièvre
De nous deux je suis bien la plus joueuse
Comment résister à tes lèvres pulpeuses.
Ton baiser est si doux et soudain je bous
Se faire face et te serrer là debout
J'ai dans la tête des vagues calines
Tu recueilles mes mines cristallines.
Je connais déjà le chemin de mes mains
Et c'est comme un enivrement sans fin
Quand le corps apprend tout de la mort
Occis il peut brûler tant de fois encore.
C'est un combat entre toi et moi
Les chandelles brûlées de notre émoi
C'est une guerre où douce amazone
Je t'offre mon corps ravi et aphone.
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Amicalement Alanna