Et enfouie tout au fond de ma conscience Je crie qu’une fois encore l’on me retienne Sous un soleil d’hiver je me fais violence Sous une croix à jamais autre que mienne
Oui mais c’est encore bien toi qui manque Toujours toi qui vis quand je meurs Toi qui respires, quand moi je me planque Toujours toi qui ris quand je pleure…
Parce qu'au fond tu vois je le savais bien Que j'aurai peur de rĂŞver sans songes Que je punirai Ă plaisir chaque lendemain Que tu boirais tous tes noirs mensonges