Quelle sensation étrange,
De ressentir ce triste vide,
Cette Impression qui me dérange,
Car, Profond est l’abime…

Je me souviens, les louanges,
Les futilités, les émotions,
Tes pleurs amers, mon ange,
Et les instants de fusion…

Quel est cet oubli qui se venge,
Cette angoisse qui surgit, avide ,
comme les temps qui change,
et l’amour, en victime…

je me souviens, nos échanges,
l’attente, les promesses et l’horizon,
et mon cœur déchiré, mon ange,
loin de toi, mon amour, ma passion…

Je me souviens, la dernière fois,
Ton dernier regard, ton dernier soupir,
Quand je te serrais dans mes bras,
Pour garder à jamais, ce souvenir…

En mon être tout se mélange,
mon cœur sans ton amour devient aride,
tu me manques tellement, mon ange,
et ma plume souffrante, te sublime...