Son visage immaculé, dans la nuit des temps
Distribue sa lumière à la ville
Elle Chante pour les étoiles
Et le fond de sa chanson ressemble à la nuit
Qui fait bien ce qu'elle fait et pleure de le savoir
Une nuit où j'étais sur un volcan
Je la trouvai belle et prête à obéir à l’amour
Ce n'était qu'un rayon de la roue étoilée
Au passage des comètes, elle s'appuyait sur moi
Ces yeux de braises, m’éclairèrent avec intensités
Mon amour était trop loin des aurores,
Qui font cercle autour Du soleil

Au temps de ma jeunesse, J’étais charmé par ce corps qui brille
Nous regardions l'incroyable et nous y croyons malgré nous
Comme je pris un jour la femme que j'aimais
Nous rendions les lumières des étoiles heureuses
Elles nous auréolent d’amour, en éclairant la soudure de nos corps
Posséder un trèfle auquel j'ai ajouté artificiellement la
Quatrième feuille.
Les canicules de l’amour me frôlent
Du ciel les oiseaux qui tombent
Sous les ombres il y a une lumière, et sous cette lumière il y a
Ton visage
Le poète met la dernière main, à ses vers
Il cherche l'unité de lui-même avec le paysage
C’est un des frissons du plus grand amour

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bernard 138

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