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A défaut de mes yeux, mon rêve te poursuit,
Le bonheur demeure un asile,
Et je le laisse ainsi courir dans ses prairies,
L’arrêter serait inutile!
S’il suit les sentiers qui mènent jusqu’à toi,
Je sais qu’il recherche une idylle,
Il poursuit son chemin sans se soucier de moi,
Sous une lune juvénile.
Les pensées du sommeil ont de belles couleurs,
Peindre sa vie c’est très facile,
Je peux ainsi te voir jusqu’à toucher ton cœur,
Il suffit d’être un peu habile.
Le langage du rêve au réveil s’évapore
Les mots auraient été futiles
Cette part d’infini aura quitté le port
De ma mémoire immobile.