À l’heure où je m’en vais me défaisant de moi
De ce nous trop noué de ce profond abîme
J’erre en mélancolie à bord d’un spleen sans toi
En des élans fort nus sous des éclats sans frimes
Alors sous des chagrins se dénude l’émoi
De son discret silence de ses maintes déprimes
Sur un amas de vers signe de triste aloi
J’entends ce galet noir me ramener tes rimes
Se dénude une plage où nos voix une fois
Se vêtirent d’amour un soir sous douce joie
Quand tendresse baignait notre passion sublime
Le poème revient de mon âme sous foi
De la vague limpide et nos embruns intimes
Ô folle et belle mer...Que de maux nous te fîmes!!
...ET PUIS...!
Driss
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Prétendre salir l'autre,ne nous nettoie point de nos saletés!!
Driss