Ils sont peut être parmis nous
Nos disparus, nos êtres chers
Qui nous ont tous laissé hier
En prières et sur nos genoux.

Leur présence est si salutaire
Quand on voit leur rire taire
Dans nos sommeils nos peurs
Ils caressent notre coeur.

De l'au delà nous tendent ils les bras
Quand on leur demande un signe
D'une main invisible ils assignent
Le pacte conclu avant le trépas.

Pure folie que de penser cela
De notre réalité vraie illusion
Un monde parallèle d'au delà
Signe parfois la confusion.

La prémonition qui se révèle
Se vérifie parfois si réelle
Nos sens entrevoient tangible
Le champ de tous les possibles.


À mon amie Mireille qui perçoit ce monde.

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Amicalement Alanna