C’est un Sombre endroit d'où s'éclipsaient
Des corneilles aux penchants des scintillements
A l'infime retrouvaille ils croassaient
Jusqu’à l'entente d'un nouveau craquement

Des yeux braqués intensément et sans pudeur,
Attendant le moment propice pour s'emparer
Des trésoreries d'un invité sans défenseur
Pour émailler leurs nids épais mais tarés

(deux rimes suffisent pour décrire les voleurs d'idées et de mots vu qu'ils/elles ne sont même pas dignes d'un écrit)

Amicalement, et tous mes salutations à vauv, une vraie et sincère amie qui m'a tellement manqué à cause de ma disparition dûes aux études

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