C’est le vieux chemin des amandiers Tellement bucolique n’est-ce pas ? Nous y allons à grands et petits pas Beaux, laiderons, sans le sou et rentiers.
Au bout des amandiers, un monticule Enclos, où l’on ne plante jamais rien D’autre qu’un peu de mal, un peu de bien De ces rêveurs au rictus ridicule. A.Alloun