Perdu dans les abîmes,
Errant dans ce monde Aliéné
Invisible anonyme,
Le poète enfin renaît.

Il glisse ses vers
Dévoile son cœur sensible,
Douceur, fragile comme du vers,
Je dévore votre sensualité. Je suis fébrile.

Vos mots me plongent,
Dans votre autre univers ! j’y songe,
À votre délicatesse, qui m’enivre
Votre prose pure me ravive.


Poète à la plume joyeuse,
Aux rimes flatteuses
Je lis à nouveaux vos mots,
Ceux dont vous m’avez fait cadeaux.

Nul autre présent
Ne m’aurais donné plus beau sourire
Du plus gros diamant,
Au majestueu saphir.


Je vogue au grès des flots,
Bercée par vos doux mots,
Que toute femme voudrait s’entendre dévoiler,
Un jour, une nuit, susurrée avec légèreté.


De la première rime du matin,
Chantonnée en tercet ou en Alexandrin,
Vos mots sont enchanteurs,
Dignes d'un poète au Grand Cœur.