A toi mon épouse, ma très belle Marie Hélène,
Toi que j’ai choisi, parmi des centaines,
Par ta douceur ma biche, et ton âme si sereine,
De notre demeure, je te nomme, reine et souveraine.

Avec ta fine allure d’une délicate Parisienne,
Il faudrait que souvent je te surveille,
De peur que d’autres garçons te prennent,
Je serais furieux, (tu es à moi) ma petite sirène.

Très souvent, lorsque la lune est bien pleine.
Et que dans mon oreille, tu me murmures je t’aime.
Je te donne à boire de l’eau pure de ma fontaine,
Pour calmer ta soif ma très adorable sirène.

Je suis tellement amoureux de toi ma Marie Hélène,
Que je t’offrirai le sang qui nourrit mes veines,
Pour te prouver combien je t’adore et je t’aime,
Et que sans toi la vie n’en vaut pas la peine.

L’heureux jour que j’ai unis ma vie à la tienne,
C’est un jour de chance et j’ai eu de la veine,
Car pour moi, je te juge la plus gentille de la terre,

Et je t’ai fait savoir, pour que tu te souviennes,
Que sans ta présence ma vie serait triste et bohème,
Aussi que de mon bateau, tu resteras toujours mon capitaine.
Oui mon Dieu merci, (c’est fou comme je l’aime.)


Paquita
a la demande de J-Patrick pour sa femme adorée