L'onde babillant à l'orée de l'oubli
Fait mémoire de nos blanches nuits
De nos aurores qui se sont enfouis
Sur les ailes du vent et de la pluie

Blottit dans l'ombre de nos mémoires
Comme l'écume de cette vie transitoire
L'Eden où languit la vague d'espoir
N'est plus qu'un vilain accoudoir

D'un prie dieu, dans nos coeurs enterré
En attende d'un amour prémices de l'été
Ou d'un envol vers l'éternelle présence
Loin de sa sombre citadelle de silence

Alors la rose fleurira aussi sur nos Prés
Et nos coeurs de pierre seront enfin brisés
Le chant du rossignol envoûtera de nouveau
L'esprit libre et gai de l'homme heureux...

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Et...

Dans nos jardins fleuriront nos amours
Ces roses de l'espoir enivreront nos jours
D'un parfum de bonheur aux senteurs infinies
Eclairants nos chemins en horisons de vie


La dernière strophe m'a été envoye par un ami qui a déjà lu mon poème...in se reconnaîtra bien...mes remerciement cher ami....