il en est...
Il en est de ceux qui ont perdu l'espoir
Comme des agneaux qu'on mène à l'abattoir
Tristes, comme des roseaux épuisés
Ils baisse leur tête, devant le vent glacé
Remplis de honte et de confusion
Vivant éternellement dans l'illusion
Ignorant la ferveur et la passion
Restent captives de leur frustration
Dans leur regard couvert des brumes denses
C'est effacé le temps de leur dernière valse
Leur coeur refuse de mener sa danse
Dans leur âme c'est toujours l'automne
Saison triste, morte, monotone
Est-ce vraiment cela, une vie d'Homme?