Ouchka ma jolie samoyède!

Nous avons parcourues,
Et la plaine!
Et la montagne!
En raquettes, en randonnées
Des petites expéditions
Au gout sucré de l’amour
Entre l’homme et l’animal…

Tu avais l’allure fière!
Chien de traineau tu étais,
Attachée à ma taille!
Toi et moi en attelage…
Je n’ai pas compté…
Le nombre d’escapades
Dans la grande blanche….
En tandem d’amitié…

Mais quand tu conduisais
La luge enchantée des enfants…
Droite! Gauche! Tout droit!
C’est tout ce que tu comprenais…
Que de joies partagées!

La truffe noire,
D’une blancheur immaculée,
Les yeux noirs de suie
Et cette particularité!
De grands cils très blancs.

Ta queue se dessinait en panache!
Je ne connais pas de regard si doux ,et plaintif!
Quand j’ajustais ton harnais!
La nature t’appelait, tu hurlais comme le loup!

Je t’appelais mon petit loup!
Une tendre amitié était née entre nous,
Les oreilles bien droites,
Tu étais un chien souriant!
Oui le Samoyède sourit…
Tu parlais sans cesse,
Par des petits jappements…

Ouchka ma jolie samoyède
Tu m’as quitté, je te considérais comme un chien!
Mais c’était plus que ça!
Tu connaissais tous mes états d’âme!
Ouchka ma petite samoyède
Tu m’as fait pleurer
Tu mérites bien une place
Dans mon cœur, pour ton amour de chien .

Lilas9 (texte protégé)novembre 2009

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la poésie est le parfum de l'ame

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