Je me trouvais en ville et une dame handicapée en fauteuil roulant voulait traverser une route nationnale sur un passage clouté.Mais personne ne voulait s'arrêter,je me permis donc de stopper la circulation et elle pût traverser sans embûche.
Elle me remerciât et nous sympatisâmes et échangeâmes nos numéros de portable.
Or,un jour je reçus un coup de fil de cette dame,qui était divorcée et vivait dans un appartement aménagé pour elle,et elle n'avait pour seul compagnon qu'un chat.
Celui-ci s'était échappé et elle en était fort chagrinée.
Je pris ma voiture et fis le tour de son lotissementen me renseignant,où une personne avait aperçu un chat tombé dans un jardin en contre-bas d'où il ne pouvait remonter.
A l'aide d'une échelle,je pus récupérer le chat et le rendre à sa maîtresse.

J' avais l'impression de lui avoir sauvé la vie de par ses remerciements.
Puis une réflexion me passa par la tête:"tu te dis malheureux,mais tu marches,tu cours,tu conduis et vois cette dame clouée en fauteuil;regardes autour de toi au lieu de te plaindre".