Ah! ¨Pourquoi fallu t’il qu’en dévoilant sa fesse
Elle s’enquit de savoir si j’aimais bien son cul?
Car jusqu’à cet instant je la croyais déesse
Alors que ce n’était qu’ une fille des rues.
Mais le mal Ă©tait fait, en place Ă©tait le rut,
Vite je succombait maudissant ma faiblesse
Et sans mes vêtement, sous son œil féru,
Me prĂŞtait vaillamment au jeu de la drĂ´lesse.
Ses manières n’étaient pas, je m’en suis aperçu,
Celles de mes fiancées mais dans son allégresse
A conduire le déduit elle avait le dessus
Sur le mol abandon de ces filles de paresse
Et leurs furtifs assauts, presque des substituts,
Qui laissent l’esprit chagrin et le corps sans ivresse.
La fille de la rue m’a appris impromptu
A grimper jusqu’aux nues au biais de ses caresses.
Dans les petits salons on ne me verra plus,
Finie la triste chair manquant de hardiesse
Chez une fille de rien, qui me parlait de cul
Définitivement, j’ai oublié vos fesses
euréka
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dans le jour qui se lève il faut réinventer