Il n'est de contrées, de vallées,
De montagnes, de ruisseaux, d'étendues
De terre qui ne regorgent des trésors oubliés
Par nos civilisations que l'horreur détenue

Par quelques aveugles, quelques ignorants
N'ait propagé de leur vivant et plutôt que
D'écouter le chant sacré du vent libre de
Toutes destinées, s'accaparent contre savants

Les subsides des souffrants, des mourrants,
Des handicapés, des enfants, s'enroulent de
Draperies, de soieries et ne se doutent que
Potence au sortir d'une ville les attend,

D'une idylle se pâment gaiement plutôt
Que de s'inquiéter de l'avenir de
L'humanité, ô je vous le dis bien haut
L'impatience du divin est à son comble

Et rien ne pourra plus arrêter ce déclin
Que la marche forcée des mourroirs du dédain
Attise encore sous le partage immanent,
l'effacement des dettes en boucliers dressés

Devant le fer solennel du divin qui fendra
D'une longue étreinte le sol afin de faire
Se dérouter, réfléchir les acteurs ici-bas
Masqués et regroupés en d'immondes serres

Pratiquant aveuglément contre vérités
Et vertus l'art de la dissimulation...

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