Passager du temps
La vie se marivaude
Quand elle s’éveille à tes cotés
Le coucou a encore trouvé un nid
Douillet le fut dans les bras de cette Morphée
Pas eu le temps de connaitre son prénom
A l’aube la dérobade
Dans les brumes soustrait aux teints blafards
Aux mots cafards
Devant un café chaud
Échapper encore à l’échafaud
Des mots des lendemains d’amour
Les galants du soir
Seraient-ils des manants des matins
Non, ils donnent et prennent
Au temps
Le bon temps
Et laisse le reste aux boniments
Phildor
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De l'ombre à la lumière sur le chemin de la poésie