Magistrale démonstration, virtuose, tes lettres et tes notes sont gravées par cette chanson sur le panthéon de l'amitié, sous nos applaudissements magnifiés, Quelle époustoufflante envolée :
Tel un affamé d’émotion
J’effeuille le désir des sons
De composer une chanson
Sur le violon de la passion…
Quelques notes improvisées
Sur une feuille de pensées
Sur la portée se sont penchées
Les cordes d’un piano muet…
Par une caresse de peau
De mes mains en allégretto
Sur le phrasé d’un concerto
Le piano sort de son tombeau…
Une magie instrumentale
Se fait alors triomphale
Par le spectacle magistral
D’un festival orchestral…
Et je ne peux me détacher
De ces cordes emprisonnées
Autour d’un bois suant les notes
De ma chanson en redingote…
Une émotion, une sensation
Compagnes du désir des sons
Ressurgissent de ces bas-fonds
Pour envelopper ma chanson…
Et c’est ainsi que dans la nuit
Parmi les roses endormies
J’ai joué les notes de ma vie
Pour ma belle symphonie…
Et si un jour vous entendez
Chanter le vent un soir d’été
Approchez vous sans un détour
Mon piano chantera l’amour…
Et je ne peux me détacher
De ces cordes emprisonnées
Autour d’un bois suant les notes
De ma chanson en redingote…
Et si un jour vous entendez
Chanter le vent un soir d’été
Approchez vous sans un détour
Mon piano chantera l’amour…