Chanson d'un amour désespéré.
Et je te fuis chaque matin,
Car je t’aime en vain.
Et ça fait mal, putain !
D’aimer un pauvre crétin !
Tu ne sais pas ce que tu loupes, hein, hein !
Espèce de petit con,
Tu me donnes envie de me jeter d’un pont ;
Mais on dit que dans la vie, y’a que des ascensions,
Alors je vais créer une associations
Pour toutes les filles qui comme moi,
Tombent amoureuses d’un petit crétin comme toi.
J’acquiesce tes sentiments,
MĂŞme si je ne les dis pas gaiement.
Je ne parle que tristement,
Car je te fuis maintenant.
Chaque jour je cours
A cause de cet amour
Que je garderai toujours.
Je n’aurais pas dû t’avouer mon amour
Car maintenant chaque jour,
Quand je te vois je cours.
Sans toi je ne suis rien
Qu’un pauvre petit pantin,
Une marionnette sans âme
Que jamais personne ne blâme,
Même si je t’aime en vain.
Et chaque jour tu passes si près de moi,
Alors lĂ je ne vois que toi,
Mais toi tu ne me vois pas.
Pour toi, je n’existe pas.
A la limite, j’suis juste la bonne copine,
Que tu considères comme ta frangine.
Et pourtant, j’n’ai ni le même nom, ni la même adresse que toi,
Sauf dans mes rêves d’avenir à moi.
Et chaque jour je pleure,
Car tu brise mon cœur,
A chaque fois que tu me dis : « salut la sœur ! »
Alors lĂ je pleure,
Je pleure durant des heures.
Que j’aimerais t’oublier,
Et me remettre Ă aimer
Comme les autres font,
MĂŞme si ce sera un petit con,
Qui me jettera de la même façon.
Chaque jour je veux oser espérer
D’obtenir de mon prince un doux baiser,
Et tout ce que tu daignes me donner,
C’est simplement une bonne raclée.
Et Ă chaque fois que je te vois enlacer
Ta petite poupée blonde peroxydée,
J’ai envie de gerber,
Tant cette scène me fait pitié.
Je rêve de mariées
En robe immaculée
Se couvrant de sang
Dans le soleil couchant.
L’idée que je te perde,
Cela et tout le reste m’emmerde.
De toute façon, comme tous les mecs t’es qu’un pervers,
Alors je te castrerai à l’aide d’un réverbère.
Puis, vers ma tempe je tournerai un revolver,
Et mon corps s’écroulera par-terre ;
Et mon corps se décomposera dans la poussière.
A cette nouvelle ère,
Mon Ă©ternel amant sera un ver de terre.
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il n'existe de mot dans aucune langue pour exprimer ce que je ressens
pour toi... :-D
qui tente rien n'a rien, et qui tente tout est assis debout (dixit moi)
l'intégralité de mes poèmes:
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