Le désaveu de l'âme est ce rythme idéal
Qui s'en veut d'être dans l'audace systémique
Et veut le répondant au cœur allégorique
Qui se veut en promesse où l'amour est égal.
C'est pourquoi son écart en est illusoire
Et ne fronde qu'à l'art où son don n'est qu'esprit
Et s'en remet au prix que cède un usufruit
Pour en taire la chance qui fonde son histoire.
Le désaveu de l'âme est ce sens supputant
Qui dissimule l'air où est son intendant
Pour s'en retourner de l'esprit qui fait sa chute.
C'est pourquoi sa conscience en revient sans le fond
Qui ferait d'elle un corps que la beauté chahute
Et qui prolongerait la vie en son plongeon.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)