ONG PLAN INTERNATIONAL FRANCE
Cette ONG nous propose le parrainage de fillettes en leur donnant les moyens financiers
afin qu'elles puissent avoir accès à l'école ou continuer à pouvoir y aller...
J'ai été la "marraine" d'une fillette de 11ans pendant quelques années :
Une petite vietnamienne : -Ho Thi Ha-
On a échangé du courrier . Elle écrivait en vietnamien. puis avait recopié la traduction en français.
Pour moi, ces messages et sa photo sont précieux .
Merci Yann pour ce beau poème où "La vie est belle " pour cette fillette qui a le droit
de vivre une vie d'enfant comme il se doit...
Naturellement , dès que je l'ai lu , je ne pouvais que réagir ....!!
Belle soirée
Amitiés
Nat
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Le document suivant est fourni par ONG PLAN INTERNATIONAL FRANCE
LES OBSTACLES À L’ÉDUCATION DES FILLES
• La pauvreté et la ruralité
Dans les pays en développement, une fille est souvent considérée comme un fardeau. Aussi, les familles en situation d’extrême pauvreté font le « choix » de marier précocement leurs filles ou de les faire travailler, que ce soit à la maison ou loin de leur famille. Dans tous les cas, ces filles sont obligées de renoncer partiellement ou complètement à l’école.
• Des traditions culturelles d’inégalité des genres
Dans certaines sociétés, l’éducation des filles n’est pas une priorité ; pour certains, elle n’a même aucun sens car elle va à l’encontre du rôle qui leur est dévolu dans la société. Si une famille ne peut pas envoyer tous ses enfants à l’école, elle fera souvent le choix d’envoyer les garçons. Par ailleurs, pour celle qui ont la "chance" d'aller à l'école, les nombreuses heures qu’elles dédient aux tâches ménagères sont autant qu’elles ne consacrent pas à leurs études.
• Les violences à l’école et sur le chemin de l’école
Les filles, plus que les garçons, sont exposées à la violence et aux abus sexuels à l’école et sur le chemin de l’école ce qui les empêche d’étudier correctement et conduit de nombreux parents à retirer leurs filles de l’école. A cela s'ajoutent les régions et pays où les écoles de filles sont régulièrement détruites et les écolières agressées, voire tuées.
• Les règles
Aujourd’hui, sur le continent africain, 1 fille sur 10 ne va pas à l’école quand elle a ses règles. Parce que les établissements scolaires ne proposent pas d’endroit où elles puissent se changer dans le respect de leur intimité. Et parce que les tampons et serviettes hygiéniques coûtent très chers.
• Les mariages d'enfants (12 millions de filles chaque année)
En Afrique occidentale et centrale, 4 filles sur 10 sont mariées avant leurs 18 ans (et 1 fille sur 7 avant ses 15 ans). Or, en règle générale, les filles qui se marient quittent l’école prématurément et ne reçoivent pas l’enseignement qui leur permettrait d’échapper à la pauvreté.
• Les grossesses précoces
Elles contraignent les adolescentes à quitter l’école. Elles sont la conséquence des mariages précoces, des violences sexuelles, des tabous liés à la culture et du manque d'accès à la contraception et à l’avortement.
• L’absence de certificat de naissance
Ces « enfants-fantômes », qui sont majoritairement des filles, sont privé.e.s de leur accès à une identité mais aussi à leurs droits, notamment à leur droit à l’éducation.
• La non-application des lois
Même lorsque la scolarité est obligatoire, beaucoup de familles l’ignorent et/ou enfreignent la loi. Dans certains pays, cette violation est si répandue que les poursuites sont rares.
• Les situations d’urgence
Dans ces situations, les adolescentes sont souvent les personnes les plus exposées. Les situations précaires augmentent la pression économique qui pèse sur les foyers, entraînant des familles à pousser leurs filles vers un mariage précoce ou vers un travail dangereux, les obligeant ainsi à abandonner l’école.
Si des millions d’enfants n’ont pas accès à une éducation suffisante et de qualité dans de trop nombreux pays en développement, la situation des filles est encore plus préoccupante. 64 millions de filles âgées de 6 à 14 ans ne sont pas scolarisées.
Document de ONG PLAN INTERNATIONAL FRANCE.
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Les haillons de l’amour ne se reprisent pas .
Nataraja.