Il a alourdi toutes les truies
De sa race , en route les mignons porcelets
Qui nous fera écus , rillettes , rôtis ornés de collerettes de papier
On les aime tant qu'on les couvre d'attentions
Dédaignant coqs et canetons
Le gore dans la boue et l’immondice plonge et reglonge
A côté de ses truies pleines il se donne la peine
Le nez dans la gadoue , il se lasse de remuer
Pour remonter appétissants déchets a ses fertiles laies
Thym , sauge , coriandre ,sa corne frôle le ventre avide de sa coche femelle
Ô trouble !
Ô senteur !
Parfum de bauge