Ton haleine embaume l’air de mes cieux
Parfum que hument mes rêves ensoleillés
Où mon âme s’enivre dans ton cœur printanier
Distillant l’arôme au gout amoureux
Sur ton corps de roses bleues ceint
Ondulent les vagues de mon regard
Mouvantes sur les pétales bleutés
Cherchant le calme dans ton être
Quand papillonnent sous ma brise tes yeux
Se dissipe la brume dans l’univers creux
Val dans l’esprit anxieux
Ô altesse tu sculpte l’espoir sur la montagne de mes vœux
Mes mains fixent la toile dans le noir
Que peint le vent des désirs
Là où ton image vient s’assoir
Sur le banc du jardin des souvenirs
rivedusoleil
2/09/2017
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Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
Résidence sur la Terre (1935) Pablo Neruda
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