Et combien sont nombreux ces « là -bas »
Ou ne règnent que bruits et malheurs,
Et qui rendent à tant de gens l’ici-bas,
Si infernal qu’ils préfèrent qu’ils meurent
Mais l’espoir lés retient de faire cela
Et guettent sans cesse ce miracle nommé : bonheur !
Merci pour cette lueur d'espoir qui fait vivre.