Les seuls parisiens que j’aime,
Ce sont Villon et Victor Hugo,
Faut-il offrir des chrysanthèmes,
Le second est né à Besançon,
Pour François, je fais exception,
Frère humains qui avant nous vivez,
Il fallait autant écrire ce vers,
Pour vous tous en remercier.
Pour moi qui ne peut les vêtir,
Je voudrais bien qu’on me lise,
Car à part mes amis les poètes,
Ils marchent d’un tout mauvais pied.
Les seuls parisiens que j’aime,
Ce sont Villon et Victor Hugo,
Qu’ils se rassurent à penser,
Que je n’aime pas non plus Besançon…
PS : je n'ai rien contre le parisien individu, mais le modèle parisien lui ne me plait pas beaucoup, de toute façon c'est à prendre avec humour