Si l'eau étai à 22 degré, le virage de la couleur dans ce bleu nous laisse dans un flou artistique, et j'avoue, une certaine fraîcheur.
Ce bain d'octobre, dans tous ces parfums d'ivresse, nous préface évidemment de tant d'ardeur vers cette grâce !
Bien sûr, il y a la ferveur, et tout ce qui nous enlace, mais cela donne envie de retrouver la plage, la vague et les naïades qui longuement se baignent.
Un superbe poème, tout en écume, en vague, en sel et en sensualité....
Merci pour ce moment intense et agréable.
Amicalement, jnb.
----------------