Plume d'argent Inscrit le: 23/7/2011 De: Envois: 230 |
"la bohemeinne version amelioreé reecrite specialement pour mes consoeurs et confreres poetes" Ou vas-tu jolie écriture bohémienne, Courir après la nuit qui vit au jour le jour, Danser autour des braises de l’humanisme qui t’éloigne de ses hyènes, Ton écharpe d’utopie de dessine sous les lignes luminescentes de cet abat-jour, Sous cette feuille- étang ,les mots nénuphars glisse de leur peines Puis s’envole de cet étang ,« hameçon a vers » Que les artistes pécheurs nocturne, Aime taquiner de leur canne ,les lecteurs et leur yeux -épuisettes Quand ils vont à la Pêche à la ligne Les phrases sont des algues étant donné ton don donné que caressent Le vent de la poésie.
Le vent de la poésie caresse les cheveux que sont les rayons du soleil, Quand se pose sur le ciel, La couronne de l’aurore,s sous les yeux de la nuit qui ensorcelle, Véritable Vortex des âme en peines, La nuit te laisse fondre dans sa gorge, Ou tu glisse tes souffrance comme un sucre d’orge, Ou les épées de nos plumes et Enclumes de la poésie se forgent,
Des l’aube ,de l’ inspiration dans le brouillard des maux incohérent Pour amuser tes frères poètes un peu bohêmes,, Parmi ce feux de camps littéraire Bohémienne tu as pris la cape de l’anagramme Mis le masque métaphorique Et Te déguise au carnaval des maux Histoire de faire rigoler notre tristesse, Sous le sourire du désespoir qui se dresse.
QUAND TU DEAMBULE DARGENTE DEMUNIe Désorientee sans toi évasive Dans les ruelles de nos aspirations Il t’arrive t’éclabousser pour jouer nos mémoire caniveaux,ou se noient les timbres de voies, enveloppe charnelle De Noyer la silhouette de la démocratie dans la brume de leur demago Tu joue à faire tourner aux utopies- toupies Sur le macadam de nos lèvres Sous les réverbères littéraire De nos illustres poètes.
Alors La nuit te berce dans les bras de son insomnie, Tu aimes a chaque FOIE planté cette jolie rose , Dans le terreau manuscrit de voyages immobiles, Tu n’as pas eu le choix de grave des lettres de noblesse Avec les maux des autres Sur la pierre de l’élitisme de cette édifice Sous ses tournures littéraires feu d’artifice Morose souille par ces gens qui te méprise te dise Sale D‘une mode archaïque ,Esméralda retrouve un teint, Devant cette Vitrine de vers ou tu expose les joyaux de l’expression est ta Banque
Sous les nuages caravane,qui te fixent de leur yeux Sous l’orgue de barbare rie les poètes -saltimbanque Qui faisant tourner la manivelle rouge Répète inlassablement ces même sonorités de maux, La nuit nous enveloppe,frotte dans nos oreilles Potager des fleurs du mal sa voie de lime sa voie de miel,
Éclairer par cet abat jour,au chevet de tes désir de changement La nuit te borde des draps céleste du brouillard, La nuit te pose la tête de l’aube Sur l’oreiller des étoiles Aspergée de la roseé de ton encre,l non le matin mais,le soir Sur ce Terrain vague encercle de grillage constitutionnel Ou le monde conventionnel vous ségrége Sous le vestige de la ségrégation ,marginalisation Les crocs de cette gardienne chienne de la nuit , Empêche de passer fermement avec sa mâchoire de sensibilité ferme les voyageurs sédentaires de l’insouciance Sculpte entre ses dos l’os de l’humanisme ,le menhir de tes souffrance, Ils aimeraient que tu évacue la chariote de la culture, Ou sont enfouit les bagages culturelle , Valise -salive de nos chanteur poètes engages
La chariote de la culture tire par les chevaux De nos ballade et sonnet, Du rythme de nos colère
Ils aimeraient que tu évacue la chariote de la culture, Au delà de leur cathédrale d’ignorance Ou ne résonne plus l’orgue de barbare rie Et sa sonorité de maux,
Ils aimeraient que tu évacue la chariote de la culture, Au delà de leur cathédrale d’ignorance Ou repose les reliques de Prévert Zola, la fontaine, Ou se repose majestueusement les vitriers du langage, Qui on édifier les mosaïques de vers…..
Ils ont profanés des injures a ton égard, traité de sorcières, Accuser de sorcellerie, Tu n’a fais que mijoter des maux sur la marmite de cette feuille blanche, Repousser hors le leur démagogie et frontières C’est la nuit personnifier en sorcière, Et ses gros yeux noir qui t’ a ensorceler Vortex de âme en peines Qui t’a plonger Dans la marmite de ses vers, Fait mijoter en tournant la langue de ta plume tel une - louche Pour épaissir la pâte littéraire..
C’est cette nuit sorcière et ses incantations qui fait que Verlaine Baudelaire Victor Hugo sortent de leur crypte, Le spectre de leurs œuvres déambulent Tenu par leur main salvatrice qui nous agrippe, Les momies de leur écrits ,enlève ses rubans d’élitsime marchent tête baisser,a notre rencontre les lecteurs avides ,se transforment en loup garous et les crocs sortent de leur yeux car avide de te dévorer
C’est elle cette nuit personnifie en sorcière, Avec ses accents circonflexe cachés, C’est l’^être et ses lettres Ses bas et haut, cachés en dessous de son chapeau, Ô Qui Survole Assis sur notre balaie rouge Les plaines du silence, Les Falaises de l’amertume Le Frontières de leur demago,
Sous le procès des incultes, Qui ne peuvent faire taire le silence, Tu t’es retrouvée Sur le bûcher des maux Carbonise le cadavre de la démocratie ,de la liberté expression Noyé dans les cendres de l élitisme
Esmeralda, Que tu es belle tes cheveux et ceux du soleil mouilles, Quand tu continue a danser sur cette braises presque éteintes, Asperge par la rosée de ton encre Coiffe par ce vent de révolte , Sur ce miroir de vers, Sans ton masque d’anagramme, Avec le mascara du sourire triste qui dégouline Du visage de l’humanisme, Sans le maquillage de l’argent de la considération social qui coule du visage de ton existence Que tu es belle, A travers ce miroir de vers Quand ses écharpes d’utopie t’habille avant de glisser dans le vent , Habillée de cette robe de candeur que tisse les aiguille des poètes et du temps, Que tu es belle qu’en s’ondule sur toi, Quand se pose Cette couronne de l’aurore les Cheveux -rayons du soleil,
Ils aimeraient voir la chèvre que matérialise ta candeur, Enchaîner au piquet du conformisme Dévorer par le loup de la terreur et de l’intolérance, Alors prend garde aux gardes et leur grades, Qui tourne autour de cette cathédrale protégeant la mosaïque de vers Et au maudit Frollo, de la censure, qui voudrait l’exploser en des milliers de bouts de vers
Alors tu continue a danser jolie inspiration bohémienne, Sous les vitraux les mosaïques de vers Devant frollon et sa cathédrale Alors tu continue a danser jolie inspiration bohémienne, Sous les mouvements textuels sensuels synchronisés Danser sans chorégraphie , Quand ta ligne flirte sur les phrases en prose Parfois en chorégraphie millimétrée Quand ta ligne flirte sur les rythmes de phrases versifiées Les cheveux mouilles par la rosée de ton encre, Caressait par ce vent de changement Effleure épouse parfaitement la langue de ta plume qui continue à nous embraser et tu continue a danser Pour oublier ce monde tes iceberg de souffrance, Pendant la danse du ventre tu nous fait voir le nombril du monde, Plus beau que jamais, Ou est suspendu le cordon de l’humanité
Alors Ou vas-tu jolie inspiration bohémienne, Certainement puiser dans le puits de tes rêves. Remonter Avec la poulie de la nostalgie Les sceaux d’hommage Parmi ton art,la rosé de ton encre,qui t’asperge La rosé de ton art, Arrose d’« Art rose « cette rose d’une moisson d’aridité.
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