Quand le sommeil me fuit dans la nuit ténébreuse,
Et que j’entends tinter la musique du temps,
Quand l’insomnie est là , présence dangereuse
Plutôt que les moutons, je compte mes printemps…
****
Du début à la fin, je me suis régalé de cette lecture,
Isis, chère amie, tu as une belle écriture,
Il me tarde maintenant de découvrir les autres,
Assis au milieu d'un champ sur un fagot d'épeautres.
Je ne compte plus mes printemps
Il y en a beaucoup trop,
Je te fais compliment
Et tire mon chapeau.
Chibani