le phare
Cordouan, s’étire vers le ciel
A la rencontre des goélands
Majestueux indique le chemin aux bateaux passants
Parmi bancs de sables, écueils dans ses flots rugissants
Entre la pointe de Grave
Et la Coubre sauvage
C’est l’œil de l’estuaire
Pour le marin, salutaire
Face à lui s’étend le grand large
aux horizons Américains
En remontant la Gironde
irons jusqu'Ã Bordeaux
C’était le dernier phare habité
Depuis 2009 déserté
Mais il continue sa destiné
Se faire voir pour protéger
Phildor
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De l'ombre à la lumière sur le chemin de la poésie