une reflexion sur le repenti de chacun avant le dernier voyage et incitation à l'amour de chacun.
Amitiés
morwena

bonjour
meci pour ton message qui m'interpelle plus vers le respect de ce cap que j'ai pris...
merci pour ces mots pour lesquels je ne trouve pas de réponse car ceux que je connaisse sont si faible et bien impuissant pour traduire ce que je ressens en les lissant...
encore une merci
fraternellement mouloudi

Sages patoles Mustapha ! j'ai aimé te lire, tes vers sont sereins et calme comme la mer qui nous berce par les jours de beau temps.
Perci ami poète au coeur pur. Mon amitié.

Capricorne

bonjour moume
merci pour votre lecture et surtout pour votre message dont la sagesse m'eblouie
fraternellement mouloudi

bonjour
merci chere frere pour ton commentaire... j'espère rester aux yeux des uns (ceux qui voient la vérité et la réalités bien face) ce que je ne pourrais être aux yeux des autres (ceux qui voilent pour mieux violer)...
fraternellement mouloudi

Merveilleux poème ami Mouloudi!
JP.

----------------
Vivre ses rêves

Alger le 10/11/2009

Souviens-toi
Nul n’est brebis, nul n’est porc
A chaque nature son décor
A chacun sa propre mort.

Contre, il n’y a point d’élixir
Courir vite, ailleurs atterrir
Aucune malle ne peut te servir.

Mais avant et tu as le temps
Ouvre tes yeux sur la maman
Papa, pour respirer attend.

Souviens-toi de ces collines
De ces jours sous la pluie fine
Avec ces gouttes bien malines.

Souviens-toi de cette eau
Emportant fermier et faux
Troncs d’arbres et enclos.

Souviens-toi de ces larmes
Vieux et vieilles en alarme
A leur âge, point de charme.

Souviens-toi de ces enfants
Filles et garçons dans le sang
Automne comme printemps.

Souviens-toi, de ces espoirs
Nés du rouge et du noir
Broyés au fond des couloirs.

Souviens-toi avant de partir
Seul l’univers ne peut vieillir
Et essuie ce que tu as pu salir.

Souviens-toi, remet-toi à aimer
Ta porte, ne plus la fermer
Ouvre tes mains pour semer.

Souviens-toi, tu peux donner
Offres-toi d’utiles randonnées
Tant que l’heure pas sonné.

Dieu, clément te pardonnera
Béni sans doute tu le seras
Au paradis il t’accueillera.

Mouloudi Mustapha