Re: Les Pénélopes..
Quel joli vent de mots, tu nous insuffles la, Dame Tramontane,
Quel joli souffle de la vie, et de sa douceur d'en profiter,
Mais je ne serais plus de Jean-Paul SHREK, digne d'être l'ane,
Si de LA Pénélope d'Ulysse quelques mots je ne disais,
Car enfin quoi, entre l'Illiade et l'Odyssée,
Homère ne fut pas tendre avec celle qui tissait,
Etant la seule à vouloir y croire, que son bougre reviendrait,
La laissant seule se débattre, et durant des années,
J'espère juste qu'à son retour, elle délaissa la Tapisserie,
D'accord, pour son retour triomphal, le fêter,
Mais caché dans le dos, un rouleau à Patisserie,
Pour lui faire passer le gout du voyage, avant de se réconcilier sur l'oreiller.....
Ceci étant dit, ton poème nous invoque une plus belle époque,
Celle ou il faisait bon vivre, celui des moissons,
Le temps ou sans aucune possible équivoque,
Dans les campagnes, au coin de l'âtre, on etait plus heureux qu'à Versailles, malgré leurs ennivrantes boissons....
Amicalement,
Pascal.
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