Oui roky mon texte se veut nostalgique;avec le temps on se rapproche de plus en plus du paysage attaché à l'enfance

un joli texte empreint de nostalgie

FADETTE,
Heureux d'avoir recontré une âme coquise ,comme moi,par la Provence;merci pour cette visite et ce commentaire ô combien vivant.


souhai,
Merci pour cette visite;vos éloges me comblent de bonheur Amicalement Mos

Vraiment c'est tres magnefique et c'est un grand plaisir de lire tant de fois ce delicieux poeme . Amities

Je suis Provencal dans l'âme même si cela ne fait que 20 ans que j'y suis!
Mais Nordiste de naissance, je peux faire la comparaison et même si le mistral parfois me porte sur les nerfs, que les cigales ne changent plus depuis ce matin je suis Provencal, les deux pieds dans le jardin
Bravo pour ce poème émouvant

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erci à vous,cyrael et Honore pour vos gentils commentaires;c'est vrai que le désir de revoir
les lieux de son enfance se fait de plus en plus sentir avec l'âge.

Tendre et magnifique hommage à tes racines qui sont la base de ton bonheur d'exister.
HONORE

Ne m'en veuillez pas trop si j'ai écorché le cyprès alors qu'il était déja malmené par le mistral

Le crépuscule bouscule le soleil
Et étouffe ses derniers reflets
Alors que mes yeux sans sommeil
Courent dans la bruyère et le genêt
La Provence est un pays sans pareil
C'est dans ses bras que je suis née
Notre maison est là avec sa treille
Et son cyprès par le mistral malmené




Je veux rester là où je suis née
Me manquaient lavande et abeilles
Longtemps dans mes rêves imaginées
Je veux comme avant quand on veille
Être dans tes bras,me sentir câlinée
Me fondre en toi quand je sommeille
Sous ton regard par l'amour illuminé
Demain nous guetterons dès mon réveil
A la porte,je le sais,tu l'as deviné
Le plus merveilleux des soleils
Maman,ta tête ne sera plus inclinée

nostalgie de nos terres natales
si bel écrit, une plume en récital

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

Le crépuscule bouscule le soleil
Et étouffe ses derniers reflets
Alors que mes yeux sans sommeil
Courent dans la bruyère et le genêt
La Provence est un pays sans pareil
C'est dans ses bras que je suis née
Notre maison est là avec sa treille
Et son cypré par le mistral malmené
Est là,même la bonbonne vert bouteille
Qu'enfant,j'ai maintes fois dessinée
Je pousse la porte,ô combien vieille
Et ma main s'attarde sur le bois buriné
Dans son fauteuil,ma mère sommeille
Mon entrée,elle ne l'a pas devinée
Maman,vous me manquiez toi et Marseille
Relève ta tête par le chagrin inclinée
Raconte moi, comme quand on veille
La Provence au coin de la cheminée
Fais moi oublier monts et merveilles
Je veux rester là où je suis née
Me manquaient lavande et abeilles
Longtemps dans mes rêves imaginées
Je veux comme avant quand on veille
Être dans tes bras,me sentir câlinée
Me fondre en toi quand je sommeille
Sous ton regard par l'amour illuminé
Demain nous guetterons dès mon réveil
A la porte,je le sais,tu l'as deviné
Le plus merveilleux des soleils
Maman,ta tête ne sera plus inclinée