Merci Dom, tu as bien fait de le remonter tant il touche et ouvre les yeux sur ce qu'est cette immonde saloperie.
Mes amitiés.
JP.

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Vivre ses rêves

Des erreurs qu'on regrette par la suite, mais....?

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MB CANDIDE

En écho au texte de JP...

Maintenant tes murs sont hauts entourés de barreaux
Pour une seringue de trop tu n'es plus sont héros
Comment t'as pu glisser sur cette pente brûlante
En t'injectant la mort de tes mains innocentes?
Et tu te laisses aller tu préfères te marrer
Pour toi "y'a pas d'vaccins et les dés sont pipés"
A la trithérapie tu choisis l'ironie
Et pour ne plus souffrir tu décides de partir
Alors tu va crever dans ton monde de béton
Tout seul euthanasié au fond de ta prison
En laissant ton enfant et ta femme et ta vie
Orphelins du silence dans lequel tu guéris...

térrible lecture !
superbe écrit !
mes amitiés !
yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

Merci Dom, tes mots résonnent en moi, sache le ami...

Mes amitiés, et mes bravos.

merveilleux retour en arrière. trop peu de toi à lire

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Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage

Boileau

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Merci Katia
Merci Katel

Quelque soit l'addiction, les conséquences qui en découlent sont toujours dramatiques... Rappel d'un père en cure de désintox...

pour ton poème, si douloureux soit-il

Katel

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tatsy

"D'une joie même, le souvenir a son amertume, et le rappel d'un plaisir n'est jamais sans douleur" Oscar Wilde

http://tatsy-entre...

Un poème émouvant qui fait froid dans le dos tant il est réel et lucide.
Un moment de lecture marquant et prenant.
Amitié Katia

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banni pour insultes

Merci Jean-Luc...ce sujet est délicat à aborder mais il faut en parler...
Merci Karine
AMITIES

un texte qui ne laisse pas indifférent

Un texte qui touche mon ami, quand on part sur ces chemins difficile de voir ce qui nous entoure. La société a sa grande part de responsabilité, impossible de juger quelqu'un qui a pris ce chemin. Ceux qui restent en souffrent, le visage de ces personnes là ça ressemble à la maladie d'Alzheimer mis à part que sans reconnaître ils tueraient leur propre mère pour une simple dose. Tu as raison d'en parler car c'est un calvaire pour ceux qui ont une personne proche dans ce cas. Merci pour ce partage, un bon copain est parti comme ça, il a volé sans ailes et n'est pas revenu.

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FORUM CITATIONS:
Je remercie Roky qui a créé cette vidéo où défilent les citations des gagnants mises en page.
http://img532.imageshack.us/my.php?image=nouveaumuvee001ti2.flv

Merci pour vos coms...

un poème douloureux que tu as merveilleusement exprimé ...
cela m'a fait penser à une chanson de renaud : la blanche
c'est pas tout les jours dimanche ... la blanche
je suis ravie de ton retour parmis nous, vraiment ravie, gros bisous mon cher Dom

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

Si triste mais tellement bien écrit.L'émotion est passé...frisson...


Nat,

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La plume est la langue de l'âme.
[Miguel de Cervantès)

Ton dernier geste (à Jimmy)

Elle te l'avait bien dit
Mais tu l'as pas suivi
T'es tombé comme un con
T'as glissé pour de bon

Elle t'aimait pour la vie
Mais tu lui as menti
Sans faire de concession
Tes veines comme obsession

Elle t'avait bien prévenu
Mais tu ne l'as pas cru
T'as choisi de partir
Plutôt que son sourire

Elle t'aurait soutenu
Mais tu l'as bien déçu
En préférant mourir
Pour des grammes de délire

Elle voulait te garder
Mais toi tu t'es grillé
En adulant cette peste
T'as fait ton dernier geste

Elle t'aurait tout donné
Mais tu as tout flingué
Votre amour comme le reste
T'aurais dû faire le test

Elle était avec toi
Pour la lutte le combat
Contre cette maladie traître
Qui agresse tout ton être

Elle voulait que tu soies
L'heureux et fier Papa
De l'enfant qui va naître
Sans jamais te connaître

Maintenant tes murs sont hauts entourés de barreaux
Pour une seringue de trop tu n'es plus sont héros
Comment t'as pu glisser sur cette pente brûlante
En t'injectant la mort de tes mains innocentes

Et tu te laisses aller tu préfères te marrer
Pour toi "y'a pas d'vaccins et les dés sont pipés"
À la trithérapie tu choisis de partir
Et pour ne plus souffrir tu décides de partir

Alors tu va crever dans ton monde de béton
Tout seul euthanasié au fond de ta prison
En laissant ton enfant et ta femme et ta vie
Orphelins du silence dans lequel tu guéris...

Dom le 24/01/2009

Tragédie d'un passé pas si lointain...