Re: Il est venu le doux temps de l'Avent. A Enzo, que son Noël cette année soit magique!!!!!!!!!!!!!!!!!
Mille mercis pleins de houx et de gui, vous tous, amis!!!
Chouchou et Miette, merci.
Monsieur Honoré, très honorée de ce tableau où vous voyez mon maître, Brueghel!
Kendor, ta dinde préférée t'embrasse::))
Adeline, chère Geneviève: mille mercis pour la recherche et la mise en page, c'est superbe, vraiment!!!
Bruno, attend, avant de souhaiter, ça porte malheur-lol-(tiens, ce matin je suis passée EXPRES sous une échelle, je me suis dit que ça marcahit peu-être dans l'autre sens??), je t'en ferai d'autres, sur noël, c'est justement l'ATTENTE qui est divine...!!
Vocalises, dont j'aime bien les explics de textes, oui, bingo!!! Métisse rhénanotarnaise, etc etc-je vous épargne mon sempiternel "j'ai grandi entre Rhin et Garonne, soleil et sombres forêts, patin coufin....-, j'ai aussi vécu deux ans en terre de Flandres, au coeur de Bruxelles...
Tu as tout à fait raison, mon noël à moi est celui des nords, des lumières, des neiges, il est sur la Grand Place illuminée, il carillonne aux beffrois, il est aussi le "Christkind", l'enfant Jésus, en fait, qui passe avec les cadeaux en Allemagne, et puis et puis...
C'est sûr, j'vais en faire un autre!!!
-mais non, pas un bébé!
Enzo, bello piculino fratello, heureuse de t'avoir touchée au coeur, ça m'est venue comme ça, parce que je t'adore et que je voulais te faire un p'tit kdo tout chaud!!
Et puis peut-être-psy de comptoir- que je voulais que tu me vois comme la maman gâteau qui pare la maison de verdures et d'ors et pas comme l'hypokhâgneuse déjantée ou l'allumeuse-de réverbères!!lol
T'inquiète, le feu de bois, la nuit à parler, et tout et tout, c'est bientôt, et ce sera souvent, parce qu'on ne se quittera pas. Je vais pas te lâcher, et à ton mariage-dans longgggggggggggggggggtemps- on te demandera: "'Mais qui est cette délicieuse dame aux cheveux roses qui a lu ce meeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeerveileux poème pour vous?"lol lol
Maud for ever-laisse tomber, allez, un indice: Cat Stevens, avant sa conversion à l'islam.
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"Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue:
Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue.
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler:
Je sentis tout mon corps et transir et brûler."
Racine, "Phèdre"...