Un preux chevalier est sorti vainqueur de la lice.
Il s'est battu pour vos couleurs.
L'amour rend plus fort!

Merci, Nad, de ton passgae, et de ton mail au passage, suis un peu sous l'eau, je pense fort à toi!!

Rose un peu noyée, mais sirène.-et sereine...

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Rose un peu plus éclose!!Cet écrit est magnifique,ta plume sait plonger le lecteur dans l'ambiance de ton histoire,c'est merveilleux!!

Cyrael, merci du compliment, c'est très gentil!!

G.L.A: Gracias, senorita...Ma que calor ces jours ci!!!:::)))

Monsieur Honoré, je vous embrasse.


votre Rose un peu plus éclose.

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Grandiose plongée dans un passé où la force faisait loi; très beau conte qui arrache au destin un finalité dans l'union.
HONORE

M.G.N.F.Q.E......

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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.

Il est là c'est bien lui
Le Prince des Nuées
Embaumant et fortuit
Il vient pour l'enlever
Occira félons fera baisser les gardes
La verra Souveraine des coeurs parachevés
Enfin prête à aimer
Sereine et en confiance elle oublie hallebardes.
Sur le chemin de guet la Reine verse larme
C'est enfin ce jour là le vrai adieu aux armes
Un désert des tartares se mue en cité belle
Mille parfums et musiques enchantent citadelle

ce passage est magnifique quelle prose

à relire....merci pour ce merveilleux moment de rêverie

sous ta plume d'excellence


amitiés

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Michel, merci de ton avis sur style, m'est précieux.

Sophie fifi merci de tes mots toujours baume, pas une minute pour aller sur mail, je croûle m'écroule sous cartons et démarches!!!

Rose en burn out à viendre...!!!:::)))

Un bien joli poème, Rose, que j'ai pris plaisir à déguster...assez sombre au début, mais cette force guidée par la lumière de l'espoir, à la fin...emporte vers une espérance en demain...bien agréable à lire.
Merci pour ce partage tourné vers l'espoir.
Sophie.

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"Cependant c'est le seul qui ne me paraisse pas ridicule. C'est, peut-être, parce qu'il s'occupe d'autre chose que de soi-même."A.de Saint-Exupéry.

"Le chemin vers le bonheur : gardez votre coeur libre de haine, votre esprit libre de tout souci. ...

Pour lui alors, côté coeur et pour toi côté style.

Rocky, merci de ta lecture.

Aya, soeurette, choukran de ta sensibilité.

Ami Doux, tu m'as fait mourir de rire!! et le staek, tartare?? Bon, c'est toi Genghis??? lolAu passage, tu m'avais dit que tu ferais partie des déménageurs dimanche!!! Et??!!::))

Abdelkader, merci de tes mots fraternels.

Votre Rose qui court partout-serait-ce enfin la bonne direction?

une histoire ou pointe une lueur d'espoir à la fin , on en a tous besoin de cette lueur

« Nos descendants se vêtiront d'habits dorés, mangeront des mets gras et sucrés, monteront d'excellents coursiers, presseront dans leurs bras les plus belles femmes et oublieront qu'ils nous le doivent. »
— Gengis Khan, qui a la tête de ses Mongols et avec l'aide des tribus Tatares ils ont occupés le monde civilisé dans le temps ...et brulés l'une des plus grande bibliotheque du monde, celle de Bagdad et jetés à l'eau ses livres a tel point que le Tigre fut couvert par les manuscrits sur plusieurs kilometres.... Entre les tartares d' hier et ceux de nos jours il n'y a pas beaucoup de difference.
N'empeche j'aime bien le fromage fort qui porte ce nom.

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des ténèbres surgit toujours la lumière ! une sombre histoire qui commence mal et qui fini sur des lueurs d'espoir ! très subtile comme conte !

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@ textes protégés

Magnifique lecture, un vrai conte de fée qui ne trouve plus de place dans l'espace présent très machinale...
J'aime bien le retournement au passé qui véhicule un sentiment de douleur, nostalgique à des valeurs disparues dans le vent des nouvelles clartés...
Merci Rosam, je suis content de te lire...

Kader...

Le désert des tartares s'étend à l'infini.
Autrefois y régnait vie.
Des oasis s'y ébattaient, verdoyantes,
La vie y éclatait, frémissante.
Seule, la forteresse veille,
Palais de briques roses,
Souvenir de splendeurs et de batailles encloses;
Solitude sans pareille.
Vautours et charognards
Sont là, immondes, impavides,
Et prêts à éviscérer, soudards,
Cette vie qui tourne à vide.
Elle sort parfois, reine des sables,
De son palais figé ancien,
Se remémore sérénades
Et les princes qui venaient de loin.
Saurait-elle encore
Se parer de ramages,
Guetter mille hommages
Se vêtir d'argent et d'ors?
Les flêches des combats sont fichées en son âme
Les poisons violents ont lacéré son coeur
Elle tremble de froid de mal et de cent peurs
Elle n'ose imaginer qu'un prétendant infâme.
C'est alors qu'au loin mirage ou vérité
Les sables se soulèvent et les dunes s'apaisent
Un chofar hurle au vent des nouvelles clartés
Et drapeau blanc s'agite au-devant des falaises:
Il est là c'est bien lui
Le Prince des Nuées
Embaumant et fortuit
Il vient pour l'enlever
Occira félons fera baisser les gardes
La verra Souveraine des coeurs parachevés
Enfin prête à aimer
Sereine et en confiance elle oublie hallebardes.
Sur le chemin de guet la Reine verse larme
C'est enfin ce jour là le vrai adieu aux armes
Un désert des tartares se mue en cité belle
Mille parfums et musiques enchantent citadelle
Les veilleurs d'infini se reposent garde au ciel
Que la noce ensemence rancoeurs et vieux fiels
En sons de renouveau en paix durables
Et que de cette union soit peint un retable
Eucharistie joyeuse d'une unio mystica
Qui jaillira divine telle rose en tes bras.