Salut Sabine
Que la Gretagne est belle!
merci pour cette mélodie poétique qui m'emporte loin de ma montage de sagesse;quelle finesse et quelle tendresse dans tes mots d'espoir!C'est ce qui compte!
Amitiés
Farid

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

MerciHonoré pour la référence biblique, Christian pour tes mots inventaire, et Michel pour ta polonaise-comment sais-tu que je pleurais déjà à 10 ans en écoutant Chopin, persuadée de mes "origines slaves"-si si, les pommettes!!-...

bien sûr, tu me sais!!

Merci, je vous embrasse, pardon de mes absences, je suis submergée de vraie vie...

votre Rose

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Une énumération que l'on lirait presque comme une bible des charmes de la vie.
c'est avec tristesse que j'ai lu le commentaire de notre ami Mostafa dont la grand-mère vient de s'éteindre.
ainsi ton poème est devenu pour moi un chemin tout au long duquel je n'ai cessé de m'impliquer.
HONORE

Il y avait l'inventaire de Prévert, il y a désormais le tien, fait de ces petites mais si importantes choses de la vie...
Un vrai plaisir de le suivre et de cocher tous ces moments de plaisirs terrestres... J'ai beaucoup aimé le lire, le "voir" et l'"entendre"... Merci Rose

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Christian RAY avec Michel Drucker et Patrice Laffont

Quand l´espoir t´aura reprise tant l´envie est tienne, tiens le bien ! Alors d´ailleurs, pour les odeurs et devant ta gourmandise de Nutella comme d´être aimée, sous les regards attendris d´Erich et d´une grand mère marocaine tu reliras Georges Sand sur le sable et Chopin, dans le vent, te jouera une polonaise à ne rendre jaloux que Mozart et Bach.

Très vite car feu au lac ce matin, merci tous mes poètes d'être venus aimer ce qui compte dans nos vies calmes ou déchaînées, mon Orangelle, Marie ma soeur, belle Carlita, mon Ami-Doux, Liline rêveuse, bel Alain, querida Galia, ...

et Mos, mon cher très Mos, je le sais ton chagrin puisque je t'ai tenu courtement la main au téléphone, tu as raison de pleurer l'enfance, elle nous accompagnera toute la vie...

Ta grand-mère est vivante en vos coeurs, en celui de sa fille ta maman, de votre fratrie, et je pense fort fort à toi en ce matin de funérailles, il n'est jamais facile de dire adieu aux bonheurs.

Mon grand-père "préféré" est mort lorsque j'avais 17 ans, la veille de ma rentrée en Hypokhâgne, j'en ai eu tant chagrin que je n'ai jamais voulu y penser vraiment. C'est son portrait que je porte comme sur autel de lares en chaque nouveau lieu de vie, il me garde et m'aime depuis 30 ans...-texte de prose "Erich"...si envie de le lire...

Je vous embrasse,

Rose, la vôtre.

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AHHHHHHHH !
enfin..!!
l'optimisme retrouvé ???
profitons du bonheur des petites choses (qui n'en sont pas réellement, petites...) avant qu'il ne se sauve..!


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une pensée fraternelle à Mostafa en ce jour de tristesse..

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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.

Tout ce que j'aime !
Décidément tu vises toujours en plein coeur...
J'ai plus un Kleenex propre...

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"Et ne m'en veux pas si je te tutoie
Je dis tu à tous ceux que j'aime
Même si je ne les ai vus qu'une seule fois
Je dis tu à tous ceux qui s'aiment
Même si je ne les connais pas"

J. Prévert.
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Textes protégés par C...

Très beau poème rose , bien écrit , avec le rythme de la vie qui l'entoure , et en même temps , j'ai lue le com de MOs et suis triste pour sa grand-mêre...



Mais à toi ......

Amicalement............

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" il n'y a qu'une souffrance, c'est d'être seul..." Gabriel Marcel.





MARY.......

J''ai essayé de lire ton poème jusqu'à la fin mais ,je te demande de m'en excuser,je me suis arrêté à ces vers:
Main d'aieule ridée
Mais sage et insoumise
C'est le rire d'enfan
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Je me suis arrêté à ces vers et j'ai versé une larme chaude à la mémoire de ma grand-mère qui est partie ce soir,en me laissant seul et orphelin dans ce noir!
Je suis affligé de la perdre à jamais mais je suis heureux pour elle car je sais que, désormais,elle peut enfin se reposer pour l'éternité,elle dont la vie n'était que souffrance,lutte,endurance et persévérance. Adieu,grand-mère et pardon,ma soeur Rose de rendre ton poème si triste à cause du départ de ma grand-mère!



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Mostafa,point fat,seul,las,si doux,rêvant de sa mie!!!

Un doux poème comme un dessert sucré dont je me suis délectée.

C'est la vie .... belle et des souvenirs inoubliables que tu evoque avec une nostalgie touchante...A tous les ages on doit garder l'espoir de vivre des jours encore meilleurs .J'ai beaucoup aimé ton doux poème.

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Coucou ma belle !

J'ai lu le poste d'Orangelle. Oui c'est un hymne. A l'espoir, au bonheur, à ces détails de la vie que tu décris si bien...qui font que chaque jour, quand l'humeur est chagrine, on s'efforce de dire, ça ira mieux demain.

C'est magnifique !

Marie (Albatros)
Qui t'embrasse

PS : mon dernier poème...un petit coup de gueule...ça fait du bien !

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De la musique avant toute chose (Verlaine)
Là tout n'est qu'ordre et beauté
Luxe calme et volupté (Beaudelaire)

"espoir"....l'un de mes mots préférés pour clore d'un point d'orgue comme je les aime cette longue liste où s'inscrit partout en filigrane : "non exhaustive" pour notre bonheur et le tien !

un hymne à la vie et à ses bonheurs, surtout au bonheur : le vrai, celui que l'on porte en soi !
une énumération qui reboosterait tous ceux qui ont oublié leurs lunettes roses pour leur faire savourer le sel, et le miracle merveilleux qu'est la vie !
waouh ! ça fait du bien ! merci pour ce cadeau précieux et bisous. Orangelle

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https://orangelle-poemes.blog4ever.com/
poèmes protégés
http://www.copyrightdepot.com/rep102/00041418.htm

C’est l’odeur du grand large
Et les enfants qui jouent
Sable marées soleil
Embruns et beurre salé
Que la Bretagne est belle
Malgré ce ciel plombé
C’est parfum de lavandes
Et panier de cerises
C’est ce verger en fleurs
Et les milliers d’abeilles
C’est le jus de groseilles
Que patiemment tamise
Main d’aïeule ridée
Mais sage et insoumise
C’est ce rire d’enfant
C’est les pièces encombrées
Et les jouets par terre
Le Nutella vidé
Et la musique à fond
C'est les portes qui claquent
La vie passe par là
Qu’importe ses fracas
C’est la fugue de Bach
Les zéphyrs de Mozart
C’est l’infinie douceur
Des infimes bonheurs
C’est ces étoiles au ciel
Et les amis rêveurs
Qui finissent tranquilles
Un dessert très sucré
Nous refaisons le monde
Jusqu’au petit matin
Nul besoin de faconde
Nous évoquons destins
C’est les yeux de ma mère
Quand je reviens de loin
C’est les cris de guerre
De mes petits cousins
C’est la carte jaunie
Tombée d’un livre ancien
Où d’écriture fine
On demande une main
C’est l’avion qui décolle
Le clapotis des eaux
C’est le lilas qui chante
Et un bébé dodu
C’est l’inconnu qui passe
Me regarde au fond des yeux
Un jour quoique je fasse
Il me demandera du feu
C’est les rencontres reines
C’est un vin délicieux
C’est l’odeur du pain frais
Les parfums de blé mûr
C’est ce très vieux CD
Que j’écouterai en boucle
C’est mon livre préféré
Que tu m’offriras en double
Tout ce qui vaut la peine
De dire oui au bon dieu
C’est toi qui me rappelles
Et qui veux me revoir
C’est de me trouver belle
Et de reprendre espoir.

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