Toujours cette lumière fixée sur le chauffard et l'ombre sur la victime. Quand se décidera-t-on à considérer la voiture comme une arme destructrice, à ne pas mettre entre toute les mains.
C'est bien de répéter et re répéter que ça n'arrive pas qu'aux autres. De tout cœur avec toi !

ce poeme est bien joli et courrageux tu as un don de ressentir

des choses don tu exprimes bien et je te félicite et bravo pour

ton poeme.

Un écrit très émouvant...
La vie est injuste...de tout coeur avec toi.
Courage.
Merci du partage de tes mots.
Sophie.

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"Cependant c'est le seul qui ne me paraisse pas ridicule. C'est, peut-être, parce qu'il s'occupe d'autre chose que de soi-même."A.de Saint-Exupéry.

"Le chemin vers le bonheur : gardez votre coeur libre de haine, votre esprit libre de tout souci. ...

Encore un que je n'ai jamais lu, et il est très beau ! Ma fille tu es très imaginative et j'ai aimé ce que j'ai lu. Bisous. Maman

Ton poème est très émouvant, mais que dire, à part crier cette injustice.
La vie est bien cruelle
Colombe

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Si la poésie est un art, le partage est l'art suprême !

Mon blog,
http://www.lesmotsdits.fr/

un texte touchant qui ne laisse pas indifférent , c'est lui qui devrait se trouver dans cette situation , c'est lui qui a pris des risques en buvant je comprendrai jamais pourquoi le destin fait que c'est l'innocent qui se retrouve alité toute sa vie ............................

poeme dédié a ceux qui sont dans cette situation..

UNE VIE CHAMBOULEE

Allongée sur mon lit depuis déjà un an
Je ne cesse de penser à ce fichu accident
Je me rappelle encore ce jour là quand je me promenais
J’étais bien, joyeuse, le regard des gens me souriait
J’étais ailleurs, je te revois me prendre dans tes bras
A me parler de notre amour qui jamais ne se brisera
Tellement emportée par ses merveilleuses pensées
Je n’ai pas vu cette voiture folle arriver
Je me suis tout d’un coup sentie éjectée violemment en l’air
Puis lorsque mon corps est retombé par terre
Toute une foule de gens curieux s’est rassemblée
J’entendais des voix différentes toutes presque affolées
Aussi dans les minutes qui ont suivi
La sirène d’un camion de pompier retentit
Délicatement sur une civière ils m’ont déposée
Et dans le véhicule m’ont enfermée
Un de leur collègue est monté avec moi
Sur tout le trajet il me parlait de tout et n’importe quoi
Arrivés à l’hôpital on me transféra aux urgences
Placés sur des lits portes certains étaient confrontés à la souffrance
Mais moi je n’avais mal nulle part
Je me demandais ce que je faisais là
Un médecin vint m’ausculter avec ses instruments
Telle ne fut pas ma surprise quand je ne senti rien sur mes jambes
Mes yeux devinrent larmoyant mon cœur noyé de tristesse
Le docteur essaya de me rassurer avec délicatesse
Mais malgré les examens qui suivirent
Je savais que ma vie était finie
A cause d’un chauffard me voici ainsi paralysée
Aujourd’hui de mon lit cette histoire vous a été contée
Lui, vit sa vie comme un Dieu
Et moi, pour vivre je n’ai plus que mes yeux...

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