Hymne à Gergory Le marchal
Le souvenir de ce jour nu me tue!
Le coeur natif de ton départ têtu.
Je t' apelle de mille voix , pour consoler notre rêve veul et laid .
Je t' apelle de mille voix pour voir le grand chagrin de Paris
les violents vibrent dérrière ton grand tombeau d' autrefois.
Usée par les adieux et les larmes , la voix de ce oiseau rare quittera son nid ce beau matin de printemps .
Laissant un lit plein d' odeurs lègères et chantant la dèrnière note rare de ce couplet !!
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GUELMOUSSI AMAL